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Les Numériques - par Romain Thuret Bien équipé sur le papier, le Vowney se montre moins séduisant une fois en main, mais assure l'essentiel sans réellement faillir outre mesure. Ce sont surtout son autonomie moyenne et sa partie photo éloignée de la promesse d'un capteur costaud qui ternissent le tableau. Pour le reste, ce smartphone Elephone à écran très haute définition a quelques beaux arguments et offre une expérience multimédia très satisfaisante.
Reste à voir le suivi que daignera faire la marque à tous ses produits pour valider ou non un peu plus l'initiative.Nouvelle marque hongkongaise en vogue sur le marché de l'import, plus assembleuse qu'innovatrice, Elephone propose de plus en plus de références et surtout intègre de plus en plus de technologies pour des prix invariablement positionnés sous les 300 €. Avec le Vowney, la firme chinoise passe le stade de l'écran "plus que Full HD" et de la batterie haute capacité. Si l'engin à l'optimisation largement perfectible ne peut encore clairement pas rivaliser avec la plupart des ténors du milieu mobile, il permet à Elephone de faire montre d'un peu plus de sérieux, produit après produit.
Dimensions 153 x 76.8 x 9.5 mm Poids 156 g Diagonale d'écran 5.5 pouces Définition d'écran DPI 534 Type d’écran Part de l’écran en surface 71.27 % Puce mobile Mediatek Helio X10 Processeur ARM Cortex A53 - 1.8 GHz Nombre de cœurs 8 GPU intégré (iGPU) Power VR G6200 Mémoire vive (RAM) 4 Go Mémoire interne 32 Go Carte mémoire Capacité de la batterie 4000 mAh Capteur photo 21.2 Mpx Capteur photo avant 8 Mpx Captation vidéo Système d'exploitation (OS) Version d'OS testée 5.1 Lollipop Connectique Capteur d’empreintes digitales Type Wi-Fi Type Bluetooth NFC 4G (LTE) Dual-sim Format carte SIM Niveau d'exposition (DAS) W/Kg Type d'étanchéité Gyroscope de caractéristiques ▸" data-less="Voir moins de caractéristiques ▾" class="more"> Voir plus de caractéristiques ▸ Face-à-face PRÉSENTATION Le Vowney se positionne entre 280 et 310 € selon les crèmeries de l'import — dont certaines sont mises en avant via la fiche du Vowney sur le site officiel Elephone.hk. Il met en avant de sa fiche technique un écran 5,5 pouces WQHD, soit 2560 x 1440 px sur une diagonale de 14 cm, un capteur photo-vidéo dorsal de 21 Mpx et une batterie haute capacité (non amovible) de 4000 mAh. Le capteur d'empreinte digitale, présent ici aussi, devient une marque de fabrique chez Elephone.
Dans le Vowney, on trouve également une puce mobile octo-cœur Helio X10 de MediaTek (huit cœurs ARM Cortex-A53), une mémoire vive de 4 Go et une capacité de stockage de 32 Go extensible via l'ajout d'une carte microSD. Un capteur photo-vidéo de 8 Mpx trouve refuge en façade.
Compatible 4G LTE catégorie 4 sur toutes les bandes françaises (jusqu'à 150 Mbps de débit maximal théorique), le Vowney se dote de deux logements pour carte SIM, l'une micro et l'autre nano, mais l'un des deux logements peut également accueillir la carte microSD ; il faudra donc choisir entre plus de mémoire et une seconde SIM. Wi-Fi a/b/g/n et Bluetooth 4.0 sont au menu pour la connectivité sans fil et Android 5.1 Lollipop est aux commandes côté OS. ERGONOMIE ET DESIGN Sans être un appareil grossier, le Vowney n'est pas un modèle de finesse, autant dans son allure que dans ses matériaux. Elephone fait appel au plastique sur toute la structure, à l'exception d'une bande de métal sur les tranches latérales. Sur l'une d'elles, on trouve les logements pour SIM et microSD, avec une intégration qui manque un peu de propreté...
Toutefois, il tient très bien en main et ses boutons physiques (Marche/Arrêt, volume), tout comme le lecteur d'empreinte au dos, sont bien placés pour les utilisateurs gauchers comme droitiers. Écran éteint, ce Vowney donne la même sensation visuelle que face à certains mobile Huawei haut de gamme comme l'Ascend Mate 7 ou le P8, avec une dalle qui semble bien aller d'un bout à l'autre, sans bord notable. Une fois allumé, l'écran laisse alors apparaître des bordures épaisses ; belle feinte qui n'aura duré qu'un instant.
Le Vowney dispose ainsi d'un écran qui occupe 71,2 % de la surface avant. Pas ridicule, mais cela aurait pu être optimisé, quand un Mate 7, par exemple, affiche 78 % d'occupation de surface par l'écran. Le lecteur d'empreinte digitale fait presque partie du catalogue basique des produits Elephone et offre donc ici le même comportement, c'est-à-dire un enregistrement facile et rapide des empreintes, un réveil possible du smartphone juste en posant le doigt sur le lecteur, un déverrouillage rapide, mais aussi et surtout une exécution qui occasionne souvent des loupés.
Il n'est pas rare de devoir recommencer une ou deux fois l'opération. Frustrant.
Autre aspect utile, mais perfectible : la led de notification BreathLight. Située à la base de l'écran à la place d'un éventuel bouton "Home", cette led a justement la fâcheuse manie d'être trop souvent confondue avec un bouton sensitif et l'on se prend à tenter d'appuyer dessus en pleine navigation dans l'OS. Et même désactivée, elle continue à "respirer".
Bon point, pas de chauffe significative relevée sur la plupart des usages, même les plus demandeurs en ressources, comme la photo, la vidéo en 4K ou encore le jeu vidéo. Le Vowney est censé incarner une certaine vision du haut de gamme accessible de la part d'Elephone, mais une fois encore, l'exécution nécessite quelques révisions. ECRAN Avec une dalle IPS WQHD, Elephone choisit le confort d'une densité de 534 pixels par pouce.
Sur 14 cm de diagonale, la lecture est forcément agréable pour tout type de contenu. Si la marque hongkongaise vante un fort contraste de 1500:1, nous constatons moitié moins en laboratoire avec un résultat de 710:1 et un noir, même à l'œil, peu profond.
La luminosité maximale se porte à 478 cd/m² et la dalle affiche une réflexion lumineuse de 14 %, dans la moyenne du secteur, sans descendre sous les 8 % de grands noms de cette année (Galaxy S6 edge+ en tête). Le Vowney jouit donc d'une honorable lisibilité globale. Colorimétrie 2,7 Il peut aussi se targuer d'avoir un excellent rendu colorimétrique (delta E moyen de 2,7), équilibré, avec de beaux tons chair. Pour cela, il faut passer le mode image MiraVision en "Utilisateur" et pousser la température des couleurs à fond vers le "chaud" (gauche).
Cela induit alors une très bonne température relativement homogène de 6749 Kelvins. Les autres options dénaturent l'image. La réactivité tactile de la dalle est moyenne, avec 73 ms de retard tactile — un peu mieux que le ventre mou du marché — et tout de même 14 ms de temps de latence, ce qui est encore rare aujourd'hui sur de l'IPS. INTERFACE ET NAVIGATION C'est Android "stock", nu, dans sa version 5.1 Lollipop que l'on trouve dans ce Vowney.
Pas d'interface ou d'icônes maison, donc. Certification Google perdue dans la nature oblige, la suite applicative du géant (Gmail, Hangouts, YouTube, Drive, Chrome...) n'est pas totalement présente au démarrage et il faut en télécharger la plupart soi-même depuis le Play Store. Le tout fonctionne bien, mais n'apporte aucune pierre spécifique à l'édifice Android côté expérience utilisateur.
Nous connaissions déjà le Helio X10 de MediaTek. Pas une foudre de calcul, mais largement suffisant pour tous les usages usuels d'Android. La définition de l'écran ne semble pas être un frein à l'ensemble et, surtout, les 4 Go de RAM — 3 auraient suffi — permettent de sauter d'un usage à l'autre sans occasionner de cahots.
Un bémol néanmoins, des applis et jeux lourds mettent souvent un petit temps à se lancer. Reste désormais une inconnue de taille : Elephone va-t-il enfin assurer un suivi rigoureux d'Android à l'heure où 6.0 Marshmallow se lance dans le neuf ou se déploie sur un grand nombre de produits mobiles existants ?
Suspens... MULTIMÉDIA HD, Full HD, lourd fichier vidéo bien encodé, le Vowney peut avaler et régurgiter avec fluidité tout type de qualité vidéo qui vaut la peine sur un tel écran. L'ajout d'une appli de lecture tierce, plus ouverte en compatibilité de fichier, sera sans doute nécessaire.
À noter qu'un mode ClearMotion permet de fluidifier l'image. L'effet est immédiat et propre, mais il faut forcément apprécier l'image hyper fluide, proche de la caméra documentaire.
Vidéo Audio La sortie casque de l'Elephone Vowney se situe dans une bonne moyenne. La dynamique est large et la diaphonie bien marquée. On regrette simplement que la puissance généreuse offerte par le mobile s'accompagne d'une distorsion un peu trop présente, mais dans l'ensemble, le Vowney offre un bon rendu global au casque.
Le rendu du haut-parleur, quant à lui, est très criard, concentré sur les hautes fréquences et pas exempt de distorsion. À éviter le plus possible, donc. Jeu Bonne nouvelle, l'écran WQHD n'est pas un enfer en jeu et tous les titres du Google Play Store se jouent dans une bonne fluidité générale, même si l'on note par endroit quelques ralentissements, sans qu'ils soient rédhibitoires. Le rendu graphique n'est pas parmi les plus élevés, mais pour un tel positionnement, l'appareil s'en sort avec les honneurs.
PHOTO Tout ça pour ça ? Le capteur Sony IMX230 de 21 Mpx ne peut faire de miracle devant le traitement logiciel du smartphone qui semble être dépassé par l'enjeu, et, surtout, tente de jouer à fond la carte du renforcement des contours. Les prises de vue sont, dans l'absolu, de bonne facture, avec de la netteté et du piqué — sans atteindre ce que, par exemple, fait Sony sur ses Xperia Z3 et Z5 — et des couleurs, sans être parfaites, qui tendent vers le naturel.
En basse luminosité, l'enthousiasme modéré s'écroule. Bruit numérique, cruel manque de détails et de contraste, le résultat est bien meilleur que sur le P8000, mais manque encore de répondant.
Quelques modes photo sont disponibles mais très passables : HDR, panorama, suivi de mouvement... Retrouvez l'Elephone Vowney dans notre Face-à-Face Photo. Le capteur avant, bien fourni en mégapixels, fait lui aussi montre d'un déficit en netteté, ainsi qu'en dynamique et en contraste, avec de surcroît une légère rémanence.
Il accouche d'autoportraits exploitables, mais on en attendait bien mieux. Il faut également compter avec une interface souvent lente et un autofocus qui manque de réactivité.
Le tout est très moyen. AUTONOMIE Rares sont encore aujourd'hui les smartphones grand écran ou phablettes à proposer un accumulateur d'au moins 4000 mAh. Il y a un peu plus d'un an déjà, le Huawei Ascend Mate 7 à dalle 6 pouces Full HD intégrait une telle batterie, pour un résultat satisfaisant, mais en deçà de ce que l'on attendrait d'une batterie de ce type. Le Vowney, lui, doit composer avec un écran plus défini et une puce Helio X10 qui, bien que conçue pour ne pas consommer outre mesure, manque ici sans doute d'optimisation. Résultat, le Vowney déçoit sur le volet de l'autonomie au regard de son équipement costaud.
En lecture vidéo en flux via Netflix, il plafonne à 7h22 de fonctionnement, soit autant qu'un iPhone 6 ou qu'un OnePlus 2, mais 2h20 de moins qu'un Samsung Galaxy Note 4, par exemple. Avec l'application viSer et selon notre protocole de test d'autonomie générale, le terminal expire au bout de 8h15, soit une pleine journée de bons et loyaux services, pas plus. Un score inférieur de 90 minutes à celui d'un Archos 50 Diamond et même de plus de 4h aux Elephone P7000 et P8000.
L'écran WQHD est vraisemblablement responsable de cette autonomie perfectible. La veille est dans la bonne moyenne du marché, sans toutefois atteindre la résistance étonnante que peuvent avoir les mobiles Huawei dans cette discipline.
Pas de charge rapide pour ce produit, mais un cycle complet de charge demande un peu moins de 2h40. Le Vowney côté téléphone À utilisation basique d'Android, gestion basique des répertoires téléphoniques et de la communication en général sur ce Vowney. Numéros, adresses e-mail, favoris et basta.
Pragmatique, mais peu profond. Les appels sont de bonne facture.
Des deux côtés, on ne note pas de voix étouffées ou de souffle, tandis que la communication écrite (e-mail, SMS) est gérée de base par le clavier tactile Android qui se dote toujours d'une belle réactivité et bien entendu de l'option permettant de tracer rapidement les mots. La partie double-SIM, comme vu en préambule, n'est possible qu'en sacrifice de l'extension de mémoire via microSD. Le fonctionnement s'effectue en "dual stand-by" et chaque SIM prend donc alternativement le relais selon des usages spécifiques prédéfinis (pas de simultanéité).
L'équipement GPS de la puce Helio X10 a déjà fait ses preuves en matière de gestion de la navigation assistée. Les qualités de base sont conservées, avec un fix GPS rapide (moins de 20 secondes pour un premier accrochage) et une utilisation fluide. POINTS FORTS Bon écran en très haute définition (couleur, densité de pixels).
Réactivité globale de l'appareil. Double-SIM 4G. Lecteur d'empreinte digitale.
Performances multimédias générales. POINTS FAIBLES Autonomie trop faible au regard de la batterie.
Construction perfectible / Contraste de l'écran. Lecteur d'empreinte qui a des ratés.
Led de notification parfois trompeuse, tout le temps en fonction. Capteur photo fort en mégapixels, mais en manque d'un traitement logiciel adéquat / Réactivité de l'APN. CONCLUSION Bien équipé sur le papier, le Vowney se montre moins séduisant une fois en main, mais assure l'essentiel sans réellement faillir outre mesure.
Ce sont surtout son autonomie moyenne et sa partie photo éloignée de la promesse d'un capteur costaud qui ternissent le tableau. Pour le reste, ce smartphone Elephone à écran très haute définition a quelques beaux arguments et offre une expérience multimédia très satisfaisante.
Reste à voir le suivi que daignera faire la marque à tous ses produits pour valider ou non un peu plus l'initiative. 3 Elephone Vowney Les Numériques 2016-01-21 09:00:00 infotox Posté le 21-01-2016 à 11:56 [Répondre] Citation : Si on regarde quelques années en arrière, on incitait à la prudence sur les OEM. Aujourd'hui, nos amis du marketing ont réussi à nous faire oublier cette donnée. Et si cela est vrai dans la téléphonie, ceci est aussi vrai pour tout : multiplication des appareils bluetooth etc etc. Alors je suis peut-être déjà un vieux con mais je pense qu'une certaine prudence doit être observée là dessus et particulièrement chez les enfants dont le cerveau (par exemple) n'a pas fini sa croissance.
à se demander comment faisait les parents auparavant... avaient-ils plus confiance en leurs gosses qu’aujourd’hui!!? en voulant les protéger (fliquer) à tout prix du danger ils ne font peut-être que les exposer un peu plus. combien de gosses racketés à la sortie de l'école ou dans la rue à cause de leur tout joli smartphone?
combien renversés ou blessés parce que pas concentré sur ce qui passe autour d'eux? en ce qui me concerne un smartphone c'est pas avant 13 ans (et encore une bonne grosse daube qui fait téléphone épicétou), pour le reste je demanderai conseil aux anciens. bonjour, je suis un "vieux con". Édition du commentaire : Sofian LesNums Posté le 21-01-2016 à 16:43 [Répondre] Citation : Pourquoi ne jamais parler du DAS dans les tests ? C'est pourtant une donnée essentielle.
Pour certains smartphones chinois d'import, nous ne le mentionnons pas car... nous ne le trouvons parfois pas :/ En revanche, pour les modèles qui sortent officiellement chez nous, le DAS est précisé dans la fiche technique, dont il y a un rappel en début de test. Il faut juste cliquer sur "plus de caractéristiques". Après, la réglementation limite le DAS à 2 W/Kg. Libre à chacun de choisir un modèle qui affiche une valeur la plus faible possible. Mais ne nous demandez pas de reprocher à des appareils de respecter la réglementation.
D'autant plus qu'il ne faut pas se focaliser que sur cette valeur. On peut aussi prendre le raisonnement inverse et se dire qu'un smartphone moins puissant va devoir émettre davantage pour capter le signal. Et nous ne sommes pas équipés pour savoir laquelle de ces deux alternatives dégagent le plus d'ondes au final.
Édition du commentaire : infotox Posté le 21-01-2016 à 11:45 [Répondre] Citation : Pourquoi ne jamais parler du DAS dans les tests ? C'est pourtant une donnée essentielle. parce que cette fixette quasi obsessive n'a plus lieu d'être car tous les smartphones du marché respecte la norme euro. estimer que le consommateur est assez intelligent pour faire une bonne utilisation de son appareil ensuite (pas l'appareil collé aux oreilles H24) je trouve ça bienvenu pour l'éducation des consciences et puis les mesures du DAS c’est tellement relatif.
peut-être autant que les rejets de nos voitures. Édition du commentaire : Aaargh Posté le 21-01-2016 à 11:41 [Répondre] Citation : Pourquoi ne jamais parler du DAS dans les tests ?
C'est pourtant une donnée essentielle. Si on regarde quelques années en arrière, on incitait à la prudence sur les OEM. Aujourd'hui, nos amis du marketing ont réussi à nous faire oublier cette donnée.
Et si cela est vrai dans la téléphonie, ceci est aussi vrai pour tout : multiplication des appareils bluetooth etc etc. Alors je suis peut-être déjà un vieux con mais je pense qu'une certaine prudence doit être observée là dessus et particulièrement chez les enfants dont le cerveau (par exemple) n'a pas fini sa croissance. Édition du commentaire : La rédaction TV, smartphones, casques, imprimantes, bracelets connectés, ordinateurs, vélos électriques, aspis-robots, tablettes...
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